Vous écrivez « Il à fallu attendre le 2e confinement pour voir des restaurateurs ou des libraires faire enfin évoluer leurs façons de travailler, pour vendre en ligne, pour créer des mini-drive et du click and collect. Alors qu’ils avaient tout pour anticiper depuis longtemps ». A mon sens 1/C'est très "froid" et peu solidaire en esprit comme considération ; en effet les artisans sont mal armés et votre formulation évacue bien vite un vrai problème 2/Il y a une illusion du click and collect ; renseignez-vous : une telle foire d'empoigne dans la jungle actuelle du commerce impacté par le confinement à lieu que peu d'élus font mieux que vivoter et tout juste survivre.
Bonjour
Vous écrivez « Il à fallu attendre le 2e confinement pour voir des restaurateurs ou des libraires faire enfin évoluer leurs façons de travailler, pour vendre en ligne, pour créer des mini-drive et du click and collect. Alors qu’ils avaient tout pour anticiper depuis longtemps ». A mon sens 1/C'est très "froid" et peu solidaire en esprit comme considération ; en effet les artisans sont mal armés et votre formulation évacue bien vite un vrai problème 2/Il y a une illusion du click and collect ; renseignez-vous : une telle foire d'empoigne dans la jungle actuelle du commerce impacté par le confinement à lieu que peu d'élus font mieux que vivoter et tout juste survivre.
C'est vrai que les commerçants et artisans sont mals armés. Mais certains ont réagit très vite en innovant.
Il ne s'agit pas de concurrencer Amazon ou Uber mais de s'adapter à un contexte difficile.
Ce n'est pas un jugement de valeur, juste un constat qui n'empêche pas l'empathie.